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Vidéo de présentation Connect by CNES
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[brevet] SYSTÈME DE COMMUNICATION COMPRENANT UN RÉCEPTEUR DE COMMUNICATION D’IMAGE MATRICIELLE
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L’invention concerne un système de communication par faisceaux lumineux pour un engin spatial. Les communications inter-satellites peuvent être faites par radiofréquences (RF) ou par liaisons laser (LISL). Les liaisons laser permettent de recevoir le signal sur des photodétecteurs (type diodes, en général une dizaine); elles nécessitent un pointage très fin des satellites émetteur et récepteur. Ceci augmente la complexité, la masse embarquée, les couts, l’encombrement et la consommation des satellites. Un relâchement des contraintes de pointage dégrade le débit (rapport signal / bruit). L’invention propose d’utiliser un photodétecteur de type matriciel (CCD ou CMOS haute définition) sur lequel le signal utile peut-être composé d’une zone de pixels, voir d’un seul pixel. L’identification des pixels utiles permet d’optimiser le rapport signal / bruit. Le champ de vision à la réception étant plus large, les contraintes de pointage peuvent être relâchées.
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[brevet] LIDAR À DÉTECTION HÉTÉRODYNE PAR OSCILLATEUR LOCAL ET DOUBLE FAISCEAU DE SONDAGE, À UNE OU PLUSIEURS FRÉQUENCES SIMULTANÉES, ET PROCÉDÉ DE DÉTECTION LIDAR PAR DÉTECTION À DOUBLE HÉTÉRODYNAGE
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L’invention concerne un procédé de spectrographie à distance de type LIDAR. L’utilisation classique a pour inconvénient d’avoir un rapport signal / bruit dégradé si les conditions font que le bruit du photon n’est pas dominant. En effet, le signal reçu de la cible est atténué le long du trajet aller/retour d’autant plus que la distance est importante. La détection hétérodyne mélange le retour d’une onde lumineuse avec un oscillateur local mais il en résulte un déphasage aléatoire nécessitant une moyenne de plusieurs mesures aléatoires (dégradant le rapport signal / bruit). L’invention consiste à mélanger chaque raie du peigne local à la 1er raie correspondante du 1er peigne réfléchi, et à la 2ième raie du 2ième peigne. Le déphasage obtenu est donc le même à tout instant car les raies subissent les mêmes perturbations. Enfin, un 3ième signal de battement élimine le déphasage et annule la modulation aléatoire.
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[brevet] PROCÉDÉ ET DISPOSITIF DE GÉNÉRATION D’AU MOINS UN SIGNAL GNSS POUR LE TEST D’UN RÉCEPTEUR GNSS
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L’invention concerne les simulations GNSS pour le test des récepteurs GNSS. Les deux méthodes existantes pour les tests de récepteur GNSS se basent soit sur la simulation des signaux GNSS émis par les satellites, soit sur l’utilisation de signaux réels de satellites. La première solution permet de maitriser les scénarios et caractéristiques des signaux mais manque de réalisme et ne permet pas de simuler des signaux dont la génération est confidentielle. La seconde solution ne permet pas une maitrise sur les caractéristiques des signaux. L’invention propose l’utilisation d’un premier signal GNSS réel issu d’un satellite puis d’en modifier les caractéristiques pour être représentatif d’un autre satellite d’une constellation. Les modifications concernent la phase de code et porteuse, le Doppler, le rapport signal/bruit, le temps absolu, un message de navigation.
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[brevet] PROCÉDÉ POUR LA POURSUITE ROBUSTE D’AU MOINS UN PARAMÈTRE D’UN SIGNAL GNSS
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L’invention concerne les procédés et architecture pour le traitement de signaux GNSS. Les paramètres d’un signal GNSS, sa porteuse (fréquence et phase) et code PRN (phase), sont estimés avec des boucles de poursuite fermées mais sensibles aux faibles rapport signal / bruit (S/N) et au fortes dynamiques. L’invention propose un procédé d’estimation par étape. Le signal (porteuse, code PRN) est numérisé et répliqué en fonction de valeurs de commande; intégré en temps pour générer un signal d’erreur permettant la mesure du rapport S/N; mesuré et filtré pour estimer les paramètres de la porteuse et du code PRN. Enfin, les valeurs de commande sont mises à jour en fonction des paramètres estimés.
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[brevet] PROCÉDÉ DE CONTRÔLE DE L’ATTITUDE D’UN SATELLITE EN ORBITE BASSE
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L’invention concerne le contrôle d’attitude de satellites en orbite basse (inférieure à 2000 km). L’approche classique du contrôle d’attitude utilise le champ magnétique terrestre et utilise un magnétomètre tri-axes pour la mesure d’attitude. Cette approche ne permet qu’un suivi de consigne de pointage géocentrique; la vitesse de mise en place de l’attitude reste peu importante. L’invention propose de générer un moment magnétique puis au moins trois moments cinétiques (roues de réaction). Suivant la mesure de la position angulaire du satellite, les moments cinétiques et / ou magnétiques sont adaptés pour un contrôle en attitude agile du satellite.
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